éduquer

À travers des parcours d’ateliers, d’expériences et d’enseignements assistés avec les animaux, je suis là pour réanimer l’élan vital de vos équipes et construire un nouvel équilibre en faveur de la paix et de l’harmonie.

de l’importance de l’éducation

Éduquer, c’est « faire croître par de saines nourritures intellectuelles », écrivait Montaigne. Nous avons besoin de revenir à la terre, de nous réanimer. Car hyper-connectés, nous sommes, digitalement parlant ; mais déconnectés de l’essentiel, car submergés par la charge mentale et le rationalisme à outrance, l’individualisme démesuré, la loi du plus fort, la confusion des valeurs… Or nous avons cette merveilleuse capacité de créer des mondes à partir de nos pensées, d’activer notre imagination pour modeler un environnement à notre image.

revenir aux principes

Ceci est l’histoire d’une poubelle que tout le monde remplit jusqu’à ce qu’elle déborde. Dans l’entreprise, pas un seul employé ne prend l’initiative de la vider. Pour palier cette déconvenue, après moult discussions, la direction décide d’organiser un « atelier poubelle ». Eh bien, figurez-vous que l’atelier a suscité une explosion de plaintes et de revendications : tout le monde en a profité pour vider sa poubelle ! C’est le cas de le dire. Contrainte de suspendre l’atelier suite aux nombreuses récriminations hors sujet, la direction fit cet effarant constat : le sujet de la poubelle à vider, lui, était resté entier. Désemparée, la direction envoya une missive sur laquelle on pouvait lire : « C’est pourquoi l’éducation à la coopération est essentielle pour nous, entreprises. Nous avons besoin de personnes comme vous, Christèle. Nous avons besoin d’un regard neuf pour nous aider à changer. »

Le principe est ce qui vient en premier. Or, nous avons le besoin vital de redresser la barre en renouant avec notre nature sensorielle et intuitive. Nous avons le besoin vital de nous relier à qui nous sommes vraiment : des êtres humains doués d’empathie et de solidarité, de libre-arbitre, d’esprit d’initiative et d’action. Nous avons le besoin vital de rééduquer nos sens pour nous aider à cultiver un nouvel équilibre, en faveur de la paix et de l’harmonie. Il en va de notre survie, de notre capacité d’adaptation pour faire face aux défis et obstacles.

faire appel à l’animal

L’animal est un maitre dans l’art de l’équilibre. La présence de l’animal facilite les prises de conscience et les apprentissages : elle nous amène à reconsidérer nos modes de fonctionnement, à conscientiser nos comportements pour éviter d’être manipulés par nous-mêmes. Prendre conscience de l’animal en nous, c’est renouer avec notre nature originelle et nous permettre de rendre conscient ce qui la plupart du temps reste inconscient. À partir du moment où nous devenons conscients, nous reprenons le pouvoir sur nous-même et pouvons agir en adéquation avec la situation donnée de façon ajustée : en alignant pensée, émotion et action.

Pour nous éduquer à la coopération, nous avons besoin de rééduquer nos instincts primitifs. La présence de l’animal crée cette rupture nécessaire qui nous aide à sortir de nos cadres de référence habituels pour changer notre regard et agir en conscience.

vos « éducateurs » : chien, cheval et abeilles

J’ai choisi trois animaux pour travailler la relation à soi, aux autres et au monde, chacun ayant des compétences complémentaires. À eux trois, ils nous entrainent vers un nouvel équilibre tangible avec nous-même, les autres et le monde. Grâce aux enseignements du chien, du cheval et des abeilles, décodons nos scénarios relationnels pour sortir des rapports de force et faire évoluer nos comportements vers des relations d’équité.

Le chien. À la fois prédateur et meilleur ami de l’homme, le chien affirme un caractère combatif. Tout en aidant à prendre conscience de ce qui nourri agressivité et avidité, il nous accorde à la force de la bonté et du don de soi.

Le cheval. Tout en étant physiquement puissant, le cheval, animal de proie, est extrêmement vulnérable face à ses prédateurs, maître dans l’art de la fuite. Travailler avec le cheval, c’est renouer avec notre sensibilité et nous reconnecter à la véritable puissance.

L’abeille et sa colonie. L’abeille permet de ressentir l’extraordinaire esprit de la ruche, cette unité vers laquelle tendre. Au sein de la collectivité auto-gérée, chacun agit au service de la colonie et l’aide à se perpétuer. Un nouvel équilibre émerge qui conduit de la compétition à la coopération.

apprendre des animaux

la relation miroir

Les relations sont toujours un miroir de ce qui passe à l’intérieur de nous. Qu’elles nous attirent ou que nous les rejetions, elles nous forcent à aller au delà des apparences et à nous confronter avec la vérité. Avec l’animal, nous rencontrons cette part animale et irrationnelle, instinctive et intuitive de nous-même. Chaque animal met en lumière des comportements inconscients. Authentique, l’animal ne ment pas, ne triche pas : il est juste. Ancré dans le corps et l’instant présent, il nous ramène à l’écoute du corps qui, lui aussi, sait et ne dénature pas ce qui est ; à la sensation et la sensibilité dont nous nous sommes coupés dans le brouhaha de nos vies et qui nous guide : notre boussole interne.

redevenir conscient

Pour nous épanouir, seul et ensemble, il nous faut discipliner nos instincts primitifs ; développer notre réceptivité pour rééquilibrer les forces contraires ; nous désensibiliser des mécanismes de prédation ou compétition pour délibérément choisir la coopération, en bon loup que nous sommes ; éveiller notre conscience, ce phare qui, dans la nuit ou en pleine tempête, continue de briller et d’indiquer la direction. Par un travail sur l’écoute et la sensation du corps, il est essentiel de permettre à l’esprit et à la sensibilité de prendre forme et force :

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